À flanc de montagne

Chalets alpins
Mont-Tremblant, 2013
Chalets alpins — Mont-Tremblant, 2013

Maison de verre perchée

Une famille de quatre avec un penchant affirmé pour le plein air a trouvé son refuge hivernal parfait dans les collines de Mont-Tremblant. Conçue par Les Ensembliers, cette résidence est faite pour rappeler la chaleur et la splendeur des chalets de ski en bois de Megève, mais avec un air de modernité.

Remarquable par sa simplicité, le hall principal présente un escalier en verre juxtaposé à une bibliothèque en bois sur mesure et à une grande table qui accueille les invités dès leur entrée, trouvant ainsi l'équilibre parfait entre une atmosphère contemporaine et celle d'un chalet de ski rustique.

Le salon est une étude en symétrie, avec des paires de canapés, d'ottomans et de tabourets qui confèrent à l'espace une géométrie agréable. Le mélange des motifs, comme le tapis à rayures en losange et le revêtement de style tribal des ottomans, donne de la vie à la palette ton sur ton, tandis que les œuvres d'art apportent une touche de couleur qui attire l'attention. De grands ensembles de coussins ajoutent des touches de vert tendre et un volume douillet et moelleux aux vastes canapés.

Dans la chambre principale à aire ouverte, la vue constitue l’élément le plus important du décor. Sur le lit, des draps doux recouverts d’une couette et d’un épais jeté en tricot donnent de la texture, alors que sur le fauteuil, un coussin conçu sur mesure en fourrure vintage fait un clin d’œil amusant au décor traditionnel de chalet.

    “Toutes ces fenêtres sont surdimensionnées. Elles deviennent en elles-mêmes des œuvres d’art dans la maison.”
    —Richard Ouellette
    “Cette maison de verre était une parfaite inspiration pour notre processus créatif de décoration.”
    —Maxime Vandal
    “Toutes ces fenêtres sont surdimensionnées. Elles deviennent en elles-mêmes des œuvres d’art dans la maison.”
    —Richard Ouellette
    “Cette maison de verre était une parfaite inspiration pour notre processus créatif de décoration.”
    —Maxime Vandal