L’Atelier
L’Atelier
Chez soi dans une galerie
Chez soi dans une galerie
En collectionnant des œuvres d’artistes jeunes ou émergeants, un couple a transformé sa maison montréalaise en atelier.
Alors que Maxime Vandal, architecte, se laissait bercer de fantasmes immobiliers, il est tombé sur l’annonce d’une propriété alléchante : une maison d’époque de 1890 de style Second Empire dans le quartier historique de Westmount à Montréal. Une semaine plus tard, avec son mari Richard Ouellette, designer, il faisait une offre d’achat sur la propriété.
À la fois partenaires et copropriétaires de la firme de design et de construction Les Ensembliers, le couple est toujours partant pour un nouveau projet. Dans ce cas-ci,ils ont démantelés une rénovation datant des années 1980 pour redonner à la structure sa splendeur d'antan. La cuisine et les salles de bains ont été entièrement démolies pour faire place à des commodités plus modernes, et des moulures ont été ajoutées pour correspondre aux pièces d'origine ; les murs ont été déplacés et les sols ont été peints pour masquer les incohérences.
L'art est au cœur des préoccupations du couple, tant dans leur vie personnelle que professionnelle : Ouellette et Vandal agissent en tant qu'ambassadeurs de jeunes talents, et utilisent ensuite ces œuvres pour rehausser leurs propres concepts.
La maison est devenue un lieu d'expérimentation artistique, où architecte et designer peuvent tester les limites d'une esthétique contemporaine dans un cadre traditionnel. Dans le salon, les meubles sont placés légèrement de travers, créant un espace dynamique qui ressemble plus à un studio qu'à un lieu de rassemblement, et les étagères ouvertes de la cuisine s'étirent de part et d'autre des fenêtres. En fait, une grande partie du concept de la maison a été guidée par la gamme existante de tissus du duo pour Brunschwig & Fils (leur collection de papiers peints sera bientôt lancée), créant ainsi une sorte de salle d'exposition vivante.
En collectionnant des œuvres d’artistes jeunes ou émergeants, un couple a transformé sa maison montréalaise en atelier.
Alors que Maxime Vandal, architecte, se laissait bercer de fantasmes immobiliers, il est tombé sur l’annonce d’une propriété alléchante : une maison d’époque de 1890 de style Second Empire dans le quartier historique de Westmount à Montréal. Une semaine plus tard, avec son mari Richard Ouellette, designer, il faisait une offre d’achat sur la propriété.
À la fois partenaires et copropriétaires de la firme de design et de construction Les Ensembliers, le couple est toujours partant pour un nouveau projet. Dans ce cas-ci,ils ont démantelés une rénovation datant des années 1980 pour redonner à la structure sa splendeur d'antan. La cuisine et les salles de bains ont été entièrement démolies pour faire place à des commodités plus modernes, et des moulures ont été ajoutées pour correspondre aux pièces d'origine ; les murs ont été déplacés et les sols ont été peints pour masquer les incohérences.
L'art est au cœur des préoccupations du couple, tant dans leur vie personnelle que professionnelle : Ouellette et Vandal agissent en tant qu'ambassadeurs de jeunes talents, et utilisent ensuite ces œuvres pour rehausser leurs propres concepts.
La maison est devenue un lieu d'expérimentation artistique, où architecte et designer peuvent tester les limites d'une esthétique contemporaine dans un cadre traditionnel. Dans le salon, les meubles sont placés légèrement de travers, créant un espace dynamique qui ressemble plus à un studio qu'à un lieu de rassemblement, et les étagères ouvertes de la cuisine s'étirent de part et d'autre des fenêtres. En fait, une grande partie du concept de la maison a été guidée par la gamme existante de tissus du duo pour Brunschwig & Fils (leur collection de papiers peints sera bientôt lancée), créant ainsi une sorte de salle d'exposition vivante.